Quand toutes les conjectures logiques ont été mises de côté, celle qui reste, aussi improbable soit-elle, se révèle être la vérité.
À l’Institut Géopolymère, nous employons l’archéologie comme une banque de données pour valider nos découvertes (voir les projets GEOCISTEM, le Réchauffement Mondial (en anglais) et les Actes des Congrès Géopolymère ). Grâce à ces références historiques, nous sommes capables de démontrer que les géopolymères ont la même résistance et longévité que la roche naturelle. Ceci montre l’originalité de notre approche scientifique et industrielle. Mais cette approche a ses difficultés, car elle requiert un examen critique des données vieilles de plusieurs milliers d’années. Imaginez le nombre de processus naturels qui ont eu le temps d’agir sur les matériaux de l’antiquité! Il y a un risque d’interprétation erronée, nous incitant à procéder prudemment. Une autre source d’erreurs potentielles résulte dans les textes de l’antiquité qui y ont été traduits de façons diverses à travers les siècles. Voir par exemple l’interprétation erronée des textes latin consacrés aux mortiers antiques romains et des bétons : Le Mystère du Béton Romain Dévoilé , #D Les mortiers de pouzzolanes artificielles chez Vitruve: évolution historique et archirtecturale et #E A la recherche du Carbunculus .
Les interprétations qui ne tiennent pas compte des nouvelles informations augmentent la confusion car des idées préconçues et enracinées peuvent être férocement gardées par des savants et des scientifiques comme un très vieil os par un chien. Notre recherche a été combatue avec acharnement par quelques experts qui en ont profité pour se faire de la publicité à bon compte sur notre dos et ont rendu public les critiques habituelles et féroces basées sur des idées préconçues et une criarde ignorance.
Notre recherche se concentre sur les céramiques antiques, les mortiers, ciments, bétons, pierres artificielles (faites de main d’homme), constructions représentant les civilisations antiques encore pleines de mystères, comme : Égypte pharaonique, Mésopotamie, Empire Romain, Amérique Précolombienne, et aux autres artefacts de l’âge de pierre en Europe et Asie. D’autres conséquences inattendues portent sur la découverte de la relation entre le plus grand scribe et savant de l’Égypte antique, Amenophis (Amenhotep) Fils de Hapou, et le Patriarche Joseph de la Bible (Genèse). Voir ci dessous à Chef d’oeuvre d’Amenophis Fils de Hapou et les Vidéos de présentation (10 min.) de la Fresque du Temple Mémorial d’Amenophis Fils de Hapou et interview vidéo (10 min.) de Joseph Davidovits:
Amenophis Fils de Hapou
Nous avons découvert que la chimie des géoplymères était connue dans l’Antiquité. C’était la base de l’alchimie. Nous avons aussi découvert que la plus ancienne des céramiques géopolymères, une terra cota noire, est vielle de 25,000 ans, et elle appartient à la technologie LTGS. Il s’agit de la Vénus de Dolni Vestonice